Ce scandale a éclaté en 2015 quand Volkswagen a reconnu, à la suite d’accusations de l’agence environnementale américaine, avoir truqué 11 millions de ses véhicules diesel à l’aide d’un logiciel.

Plusieurs constructeurs et équipementiers sont depuis dans le viseur de la justice au-delà des frontières de l’Allemagne, où de premiers procès contre d’anciens responsables du groupe Volkswagen sont en cours.

Récemment, des perquisitions ont également visé le japonais Suzuki, le Français Stellantis et l’Italien Marelli, en Allemagne, Italie et Hongrie.