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L’hydrogène : va-t-il sauver le moteur à combustion ?

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OTO News (L’hydrogène) – Mais quelle mouche a piqué les motoristes nippons ? Regardez ce rutilant moteur à combustion de 5 litres et 8 cylindres : c’est un projet développé par Toyota et Yamaha, annoncé en février dernier. Une idée qui paraît anachronique : on imaginait plutôt le moteur thermique mort et enterré ! En cause : les normes environnementales de plus en plus drastiques adoptées par les États, qui imposent aux véhicules neufs des niveaux d’émissions extrêmement bas, à la fois en termes de CO2, gaz à effet de serre bien connu, mais aussi en matière de polluants aériens comme les oxydes d’azote (NOx) et les particules fines.

En Europe, en l’espace de 23 ans, les limites d’émissions de NOx ont par exemple été divisées par 36 sous l’effet successif des normes Euro 0 à Euro VI. Et la norme Euro VII, qui entrera en vigueur en 2025, pourrait encore diviser ces valeurs par 2… et atteindre des seuils proches de 0. Plus radical encore : l’une des mesures proposées par le pacte vert, actuellement discuté par la Commission européenne pour atteindre la neutralité climatique d’ici à 2050, vise purement et simplement à interdire les moteurs thermiques à l’horizon 2035 ! Face à ces contraintes, les constructeurs n’ont donc plus le choix : ils doivent électrifier leurs gammes au plus vite, la fin du moteur à combustion paraît actée.

Moteur à hydrogène

Alors quoi, ce nouveau projet est-il une lubie folle, un pari insensé ? Pas du tout ! Car l’engin n’est pas conçu pour carburer à l’essence, au diesel, ni même au GPL. Ce moteur fonctionne à l’hydrogène, gaz dont la combustion ne rejette que de l’eau, et qui peut être produit de façon propre, par électrolyse de l’eau à partir d’électricité décarbonée. En d’autres termes, l’idée est de changer le carburant plutôt que le moteur ! “Cette stratégie permettrait de ne pas abandonner toutes les optimisations qui ont été obtenues depuis un siècle sur le moteur à combustion interne, tout en garantissant des émissions polluantes très basses” , résume Luis Le Moyne, enseignant chercheur à l’Institut supérieur de l’automobile et des transports à l’université de Bourgogne.

Toyota et Yamaha ne sont d’ailleurs pas seuls à se lancer dans l’aventure : trois autres constructeurs japonais (Kawasaki, Subaru, Mazda) se sont engagés à poursuivre avec eux une recherche collaborative sur le moteur à hydrogène. En France, L’IFP Énergies nouvelles (Ifpen) explore également cette thématique avec Renault Trucks via un banc d’essai monocylindre ; leur objectif est de tester en 2023 un poids lourd à motorisation hydrogène. “Il y a trois ans, quand nous avons démarré les essais, il n’y avait presque aucune publication scientifique sur le sujet. Récemment, nous en avons recensé plus d’une centaine” , souligne Bertrand Gatellier, responsable du programme Motorisations et Systèmes.

PEU DE MODIFICATIONS

En soi, l’idée de brûler de l’hydrogène dans les moteurs n’est pas nouvelle, Jean-Luc Perrier l’a pour la première fois validée en 1979. Au sortir du second choc pétrolier, ce professeur de mécanique à l’université d’Angers avait converti le moteur d’une vieille Simca 1000 essence en hydrogène – qu’il produisait d’ailleurs lui-même dans son jardin à partir de panneaux solaires et d’un électrolyseur.

Il faut dire que, techniquement, la conversion ne nécessite pas de grosses modifications : “Le dihydrogène étant gazeux à température et pression ambiantes, il faut surtout modifier le circuit d’injection. Il est aussi nécessaire de remplacer certains matériaux susceptibles d’être fragilisés à la longue par cette molécule très petite. Mais rien de fondamentalement disruptif” , assure Christian Nellen, responsable du département Moteurs à combustion à la Haute école d’ingénierie et d’architecture de Fribourg, en Suisse.

En 2006, BMW a ainsi fabriqué 100 exemplaires de la berline Hydrogen 7 équipée d’un moteur de 6 litres et 12 cylindres, capable de rouler aussi bien à l’essence qu’à l’hydrogène. Mais les performances n’étaient pas encore au rendez-vous : “En mode hydrogène, ce moteur développait un couple équivalent à celui d’un moteur de 4 litres de cylindrée” , pointe Bertrand Gatellier. Et ce pour une raison simple : la combustion de l’hydrogène demande 2,5 fois plus d’oxygène par unité de masse que l’essence. Or les anciens moteurs dits “atmosphériques”, comme ceux des BMW Hydrogen 7, qui fonctionnaient par aspiration naturelle d’air, ne parvenaient pas à fournir assez d’oxygène pour créer une combustion optimale.

Heureusement, deux innovations obtenues ces vingt dernières années ont changé la donne. “D’abord, l’arrivée des turbocompresseurs, qui permettent de pomper bien plus d’air. Ensuite, l’injection directe du carburant, qui permet de mieux doser la répartition de l’hydrogène, un gaz très expansif, et donc d’obtenir des mélanges air/hydrogène mieux maîtrisés” , détaille Florence Duffour, cheffe de projet motorisation hydrogène à l’Ifpen. Des apports qui ont solutionné du même coup la question des émissions de NOx. “Le problème était que les hautes températures associées à la combustion de l’hydrogène favorisent la formation des oxydes d’azote.” Mais, là encore, “en injectant plus d’air que nécessaire pour la combustion, on peut abaisser la température et atteindre des concentrations d’oxyde d’azote à l’échappement cent fois moindre que celles d’un moteur diesel” , se félicite la chercheuse, qui l’a démontré sur le banc d’essai de l’Ifpen.

On peut atteindre cent fois moins d’oxyde d’azote à l’échappement que dans un moteur diesel – FLORENCE DUFFOUR Cheffe du projet Motorisation hydrogène à l’Ifpen

POUR LES VÉHICULES LOURDS

Bref, le moteur thermique à hydrogène fonctionne ; la propulsion hydrogène rechargeable à la pompe en quelques minutes, très dense en énergie – l’hydrogène contient trois fois plus d’énergie par unité de masse que le gazole -, est prête. Alors, pourquoi cette idée ne revient-elle en force qu’aujourd’hui ? D’abord parce sur le segment de la voiture individuelle, le tout-électrique a pris trop d’avance.

L’hydrogène décarboné, un pari

Si l’hydrogène porte de nombreuses promesses, sa production actuelle est à plus de 95 % carbonée car dérivée du gaz naturel, d’origine fossile. L’hydrogène propre, lui, doit être issu de l’opération d’électrolyse. C’est donc un pari : bien qu’en plein essor industriel, cette filière reste pour l’heure embryonnaire et incapable de fournir de grands volumes. Par ailleurs, le succès de la mobilité hydrogène repose aussi sur le déploiement, d’ici à 2030, de milliers de stations de recharge à hydrogène… alors que seulement 230 étaient opérationnelles en Europe, fin 2021.

“La messe est dite” , tranche Bertrand Gatellier. Forts d’une décennie d’industrialisation, les véhicules électriques bénéficient des progrès fulgurants des batteries en termes d’autonomie et de coût de fabrication, si bien qu’ils devraient atteindre la parité de prix avec les voitures essence d’ici à 2027, selon l’organisme Transport & Environnement. Cette technologie est également optimale d’un point de vue énergétique global, grâce au rendement très élevé du moteur électrique, de 98 %, qui cause bien moins de pertes que le moteur thermique, dont le rendement oscille entre 25 et 45 % selon les usages.

Les prototypes déjà en route

Le moteur à hydrogène pourrait remplacer avantageusement la pile à combustible sur les transports lourds (camions, bateaux) et/ou de forte puissance (voitures de course). Plusieurs prototypes de véhicules à motorisation hydrogène sont déjà en développement.

Baptisé Hydrotug et construit par la Compagnie maritime belge (CMB) pour le port d’Anvers, ce remorqueur à très faibles émissions est équipé d’un moteur brûlant à la fois diesel et hydrogène, l’hydrogène fournissant 85 % de la puissance.

Il préfigure la conversion possible à l’hydrogène du secteur marin.

Comme presque tous les spécialistes du secteur des poids lourds, le motoriste FEV a annoncé le développement de moteurs à hydrogène. Une solution prisée car elle pourrait s’avérer globalement plus intéressante que la pile à combustible, qui est moins mature technologiquement et offre de moins bons rendements à plein régime.

Alors que son moteur était conçu à l’origine pour l’essence, cette voiture de course Toyota GR Yaris H2 carbure bien à l’hydrogène. Ce dernier brûle plus rapidement que l’essence et offre davantage de vivacité au moteur. À tel point que de nombreux constructeurs nippons envisagent la motorisation hydrogène comme une alternative au tout-électrique.

SYLVIE LECARPENTIER – CMB.TECH/PORT OF ANTWERP – FEV GROUP – TOYOTA

SYLVIE LECARPENTIER – CMB.TECH/PORT OF ANTWERP – FEV GROUP – TOYOTA

SYLVIE LECARPENTIER – CMB.TECH/PORT OF ANTWERP – FEV GROUP – TOYOTA

Sauf que, en ce qui concerne les véhicules plus lourds, de l’utilitaire au camion en passant par les avions et les bateaux, la motorisation électrique n’est pas vraiment adaptée. “Si l’on a besoin de parcourir de très longues distances et d’alimenter un véhicule de forte puissance, les batteries deviennent trop encombrantes ou trop longues à recharger” , révèle Bertrand Gatellier. Sur ce créneau particulier, les constructeurs sont donc pris au dépourvu !

“Les agendas de décarbonation se resserrentet ils n’ont pas de solution aboutie et fiable” , explique Christine Rousselle, chercheuse au laboratoire Prisme, à Orléans.

Les autres candidats à la carburation propre

L’hydrogène n’est pas seul en lice pour décarboner les moteurs ! Certains motoristes développent des engins capables de brûler un dérivé proche : l’ammoniac. De formule NH3, ce gaz peut être produit par la réaction bien maîtrisée de l’azote avec l’hydrogène. Son avantage ? “L’ammoniac est plus facile à manipuler car liquide à -34°C ou à 10 bars, contre -253°C ou 350 bars pour l’hydrogène”, note Christine Rousselle, chercheuse à l’université d’Orléans. Certains industriels projettent aussi de retransformer l’hydrogène décarboné en le combinant à du CO2 pour produire des essences ou gazole décarbonés. Seul hic : ces “e-fuels” produisent autant d’oxydes d’azote que les carburants fossiles classiques lors de la combustion… et ne passeront donc pas les futures normes d’émissions.

Renault Kangoo Hippie Caviar Motel : le futur dérivé camping-car en filigrane

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OTO News (Renault Kangoo Hippie Caviar Motel) – Le salon du véhicule de loisirs de Hanovre sert d’écrin à cette étude annonçant l’introduction prochaine d’un Kangoo Spacenomad, son dérivé camping-car. Mais également à la variante 100% électrique dévolue aux particuliers, ainsi qu’à la version à empattement long.

La folie du camping premium s’est emparée du Losange. Après un showcar rendant déjà hommage aux précieux oeufs d’esturgeon, dévoilé l’an dernier sur la base du Trafic, Renault récidive cette année sous un format plus réduit, toutefois plus long de 42 cm par rapport au Kangoo de base. S’allongeant sur 4,91 m, il offre un espace intérieur de premier choix pour les escapades en solitaire, l’habitacle n’autorisant que le couchage d’une seule personne, côté passager, alors que deux personnes peuvent prendre place à l’avant. On regrette que ses géniteurs l’aient privé de l’habituelle tente de toit qui devrait officier sur le modèle attendu en série, l’an prochain.

Chic mais snob

Une vision individualiste du camping qui fait la part belle aux rangements, un grand meuble jouxtant l’espace de couchage, lui-même transformable en un fauteuil dirigé vers l’arrière du véhicule pour faire office de bureau sur une tablette déployable. Un espace qui s’étend sur quelques décimètres supplémentaires lorsque les portes arrière s’ouvrent à 90° pour supporter un auvent. Extérieurement, Renault Kangoo Hippie Caviar Motel scinde son toit en deux parties avec, d’un côté, un porte-skis, et de l’autre un toit vitré surplombant l’espace de couchage.

Rayon d’action limité

Rien de très neuf sous le capot puisque ce show car reprend l’électromoteur inauguré par la variante utilitaire du Kangoo. Développant seulement 120 ch, il devrait être à la peine pour mouvoir ce pachyderme long de presque 5 mètres, quand la batterie de 45 kW n’autorise que 285 km d’autonomie. Pas de quoi envisager des aventures lointaines, bien que la puissance de charge de 80 kW permette de recouvrer 170 km de roulage en 30 minutes.

Nouveau logo

Enfin, la révélation du Renault Kangoo Hippie Caviar Motel est l’occasion de découvrir l’intégration du nouveau Losange sur un ancien modèle de la gamme. A cette occasion, le ludospace revoit une trame de calandre inédite, bientôt intégrée à l’ensemble de la gamme, aussi bien sur les blocs thermiques qu’électriques, dans les mois à venir.

Kia EV6 GT : premier avis au volant de la Kia la plus puissante de l’histoire

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OTO News (Kia EV6 GT) – Dérivée de celle qui a gagné le titre de voiture de l’année, la Kia EV6 GT déboule avec une puissance à faire pâlir bien des sportives reconnues. Mais encore faut-il que le produit soit homogène pour séduire, ce que nous avons pu apprécier le temps d’une spéciale de rallye. Silence, ça pousse fort !

Un temps dévolu à la Stinger GT, le rôle de démonstrateur technologique de Kia repose maintenant sur les épaules de l’EV6, particulièrement en version GT. Dévoilée il y a déjà plusieurs mois, sa fiche technique a de quoi impressionner. 585 ch, 740 Nm de couple et un 0 à 100 km/h annoncé en 3,5 s, voilà des valeurs que l’on trouve plutôt du côté des supersportives et supercars que dans une Kia ! Certes, les machineries électriques permettent souvent d’afficher relativement facilement des chiffres qui donnent le tournis, mais s’ils se cantonnent à des autos de ligne droite, l’excitation est de courte durée. Aussi Kia a pris soin de revoir de fond en comble le châssis de l’EV6 GT (mais la batterie de 77,4 kWh est identique à l’EV6), lequel peut compter sur des composants qui lui sont propres. À commencer par des amortisseurs pilotés ECS indisponibles sur les autres versions.

Efficacité bluffante

Très confiante, la marque coréenne nous a convié pour que nous puissions tester à fond les capacités de l’auto !

La première montée, effectuée en mode Sport, a déjà de quoi mettre l’eau à la bouche.

Dans les virages serrés, la GT affiche une précision et un équilibre à des années-lumière de l’EV6 classique, son châssis travaillant efficacement sur le bitume pas toujours parfait de la spéciale. Jamais l’auto ne semble se désunir et, c’est plus étonnant vu les 2 200 kg annoncés et l’absence de roues arrière directrices, l’agilité est pleinement au rendez-vous dans le sinueux. Un comportement sûrement aidé par le fait que le moteur arrière est nettement plus puissant que celui de l’avant (367 ch contre 218) et qu’un différentiel à glissement limité piloté électroniquement se charge de répartir au mieux la puissance entre les roues postérieures. Bien sûr, il faut anticiper les freinages car l’inertie aura tôt fait de vous embarquer en cas d’excès d’optimisme, mais il y a de quoi se réjouir d’avoir un châssis aussi rigoureux sur une auto que l’on n’attendait pas forcément au tournant. Surtout vu le flegme de l’EV6 « non-GT » !

Un punch inouï

Lors de la redescente, pour passer l’auto en mode Normal permet de mettre en exergue une qualité d’amortissement supérieure à la suspension passive de l’EV6, au point que le confort progresse malgré un châssis sensiblement plus raide. Les petits chocs sont bien absorbés et il y a un peu moins de mouvements parasites, malgré de grandes jantes de 21 pouces imposées et un profil de pneu assez agressif (255/40 ZR21). Lesquels sont d’ailleurs d’excellents Michelin Pilot Sport 4S livrés de série, qui prennent tout leur sens lors de la deuxième montée à rythme endiablée. Moteur réglé sur Sport + via le mode individuel pour garder l’amortissement un cran dessous, en Sport -il devient trop raide en Sport +, on comprend à quel point la Kia est rapide.

Les mises en vitesse sont balistiques et l’on se surprend à passer très fort en courbe, oubliant de fait le gabarit imposant l’auto (4,70 m de long pour 1,89 m de large tout de même !) qui se place au millimètre. On loue aussi l’effort de Kia d’avoir doté sa GT de sièges baquets enveloppants qui maintiennent efficacement, alors que le reste de l’habitacle est calqué sur celui de l’EV6 classique, sellerie mise à part.

Comparez les vraies autonomies des meilleures voitures électriques d’après notre cycle de mesures normalisé. Capacité de batterie, consommation, autonomie, on vous dit tout !

Un petit goût de reviens-y

Malgré cette bonne première impression, il nous faudra toutefois pouvoir faire plus que deux courtes sessions avec un pilote instructeur pour vous livrer un avis plus complet sur cette coréenne qui n’a pas froid aux yeux. Ceci afin d’en confirmer les qualités et les défauts, au chapitre desquels on peut déjà citer des freins au diamètre majoré (380 mm à l’avant et 360 mm à l’arrière) qui ne manquent pas de mordant, mais dont on aimerait que la pédale soit plus ferme. La direction nous est pour sa part apparue un peu trop démultipliée dans les épingles de la spéciale de rallye et pèche par avarice en ce qui concerne les remontées d’informations. Rendez-vous est donc pris pour une découverte plus approfondie de cette EV6 GT, prometteuse de prime abord au vu des performances qu’elle distille pour 72 990 € tout compris, puisqu’on ne trouve qu’un pack à 1400 € en option, comprenant la pompe à chaleur et la recharge bi-directionnelle pour alimenter des appareils externes en puisant dans la batterie.

FICHES TECHNIQUES
Appellation commerciale Kia EV6 GT (2022)
Moteur Synchrone à aimants permanents, 0 S, 0 cm3
Puissance 585 ch
Couple 740 Nm
Transmission Transmission intégrale
Type de boîte Automatique

Les transporteurs de marchandises se mobilisent pour sauver le secteur

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OTO News (transporteurs de marchandises) – Le transport routier concentre 85% du transport de marchandises en Tunisie. Cette activité, qui représente plus de 6% du PIB, est assurée aujourd’hui par une flotte de 340 mille véhicules appartenant à 812 entreprises et 3 190 artisans de transport en 2018.

Le transport rapide des colis compte environ 250 entreprises structurées et plus de 2500 artisans dont plus 90% opèrent dans le secteur informel sans dépôt, ni siège social ni même une déclaration d’existence.

Les entreprises structurées vivent à ce jour des handicaps dus à la concurrence déloyale exercée par les informels du secteur d’une part et des contraintes liées à la pression administrative et à l’application d’une loi obsolète trop répressive pour les entreprises structurées.

De l’application abusive des lois

En effet, les contrôles et l’application parfois abusive de certaines lois laissent le professionnel de la branche s’orienter de plus en plus vers l’informel. Ce qui a pour conséquence de mettre l’existence des entreprises en péril et nombre d’entre elles en cessation d’activité dans ce secteur où l’informel est en forte croissance.

En fait, on parle aujourd’hui de moins de 90 entreprises des 250 entreprises structurées opérationnelles de transport intérieur rapide des colis. Cependant, le Transporteur rapide des colis joue un rôle important d’intermédiaire à plusieurs stades de la chaîne de production et de distribution.

La branche de transport rapide des colis est une activité de désenclavement des régions de l’intérieur. Elle constitue un axe stratégique de développement des échanges entre les régions pour la création de la valeur. En fait, la branche permet d’intensifier les échanges régionaux et de créer une dynamique interne provoquant un effet d’entrainement régional dans tout le pays et notamment pour les régions de l’intérieur. Son développement sain permet la création d’emplois et la réduction du chômage

A première vue, le transport rapide des colis est un travail simple ; mais au fond, il exige beaucoup de rigueur, de professionnalisme, de modernisation en termes d’outils de suivi et de gestion. Plusieurs promoteurs qui se sont lancés se sont trouvés en difficulté en défaillance envers les utilisateurs de ce service. Ceci s’est manifesté par des pertes réelles pour les clients de la branche.

Cette situation d’anarchie a perturbé le développement d’une branche à forte potentiel. Les perspectives de la branche de transport des colis rapide sont prometteuses avec le développement du commerce électronique. En fait, ce service est l’une des anneaux de base de la chaine de ce commerce électronique.

La branche joue un rôle économique important mais elle se trouve accablée par des intrus informels, un cadre juridique inapproprié provoquant une anarchie dans la branche qui entrave son développement.

Ces constats ont poussé les professionnels à créer une chambre syndicale avec pour objectif principal d’assurer un développement harmonieux, soutenu et durable de la branche.

Le résultat cherché est d’avoir un secteur organisé régi par des procédures et disposant d’un cadre juridique sain incitant à entreprendre dans le secteur.

Une assemblée générale constitutive s’est tenue récemment. Les professionnels présents ont élu le bureau suivant:

•Président: Fadhel Ben Hamza
•1 er vice-président   : Khalil Belhadj Slimane
•2eme vice-président : Habib El Abed
•Trésorier: Sofiane Hammami

A travers le bureau exécutif de la chambre, les professionnels lancent un appel à leurs confrères de la branche pour adhérer à la chambre.

Fiat 500 électrique : un succès frustrant pour la marque

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OTO News (Fiat 500 électrique) – La Fiat 500 électrique se vend à merveille, mais pourrait s’écouler à deux ou trois fois plus d’exemplaires, sans pénuries de semi-conducteurs.

La Fiat 500 électrique est un franc-succès pour le constructeur italien. Arrivée dans les concessions fin-2020, la petite transalpine se vend bien. En moins de deux ans, pas moins de 100 000 exemplaires ont ainsi été écoulés en Europe. Un nombre impressionnant.

Et ce dernier pourrait être bien plus important. En effet, Carlos Tavares, patron du groupe Stellantis, a indiqué que la marque pourrait doubler, voire même tripler la production, tant la demande est importante.

« À Mirafiori (près de Turin), nous pourrions produire le triple de ce que nous produisons actuellement« , a-t-il ainsi révélé lors d’une conférence de presse successive à une visite de l’usine en question, rapporte le média Quattroruote. « La 500 électrique (…) nous pourrions en vendre beaucoup plus. En 2021, nous en avons produit 45 000. Nous pourrions facilement atteindre 90 000 unités et même nous organiser pour la faire tripler. »

La limite pour la Fiat 500 électrique, c’est les composants électroniques

Las, pour la marque, « la limite n’est pas due à la capacité de l’usine où à la disponibilité des batteries, mais à la pénurie d’autres pièces« , poursuit-il. Le constructeur est « soumis à la fourniture de semi-conducteurs« .

Les pénuries de composants électroniques touchent d’ailleurs Stellantis d’autres façons. Des usines sont régulièrement arrêtées. La faute au manque de pièces, qui ne permettent pas de produire les véhicules.

En Italie, l’usine de Sevel a ainsi été arrêtée au début du mois de septembre. Ce qui a évidemment un impact sur la production. Récemment, le syndicat italien FIM CISL affirmait que 200 000 à 220 000 véhicules pourraient manquer en 2022. Des chiffres que le groupe se refusait de commenter.

Reste que cela marquerait la cinquième année de baisse consécutive de la production dans le pays. En France, l’usine Stellantis de Sochaux a notamment été impactée par ces pénuries. Ceci à la fin du mois d’août.

IVECO lance la nouvelle gamme lourde en Tunisie avec les nouveaux IVECO S-WAY et IVECO T-WAY

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OTO News (IVECO) – Après le lancement régional à Dubaï en décembre 2021 et le lancement local en Afrique du Sud en mars 2022, la marque IVECO et les concessionnaires locaux ont présenté la nouvelle gamme lourde au marché tunisien lors d’une série d’événements dédiés entre le 19 et le 21 septembre 2022 à l’hôtel Movenpick de Tunis, comme un nouveau jalon de l’histoire d’IVECO.

Grâce à son réseau, avec 3 concessionnaires et 25 points de service, le marché tunisien représente l’un des marchés les plus stratégiques pour IVECO en termes d’investissement, de présence et de valeur pour le client.

IVECO, avec le slogan DRIVE THE NEW WAY, a dévoilé la nouvelle gamme IVECO WAY à ses clients, son réseau de concessionnaires et aux représentants de la presse automobile lors de l’événement de lancement pour mettre les invités en contact avec la nouvelle gamme IVECO et apprécier concrètement les innovations significatives des véhicules IVECO.

Plus de 250 clients ont apprécié les nouvelles fonctionnalités de la gamme, entièrement construite autour du conducteur, avec une attention particulière à la productivité, à la sécurité et à une cabine entièrement renouvelée et redessinée, pour améliorer le confort à bord et les performances du véhicule.

Fabio De Serafini, Africa & Middle East Business Director, a déclaré : « Chaque détail de la nouvelle gamme IVECO WAY a été développé afin d’optimiser les éléments du coût total d’exploitation : la consommation de carburant, le prix, la valeur résiduelle, les coûts d’entretien et de disponibilité, la satisfaction du conducteur et la productivité. La nouvelle gamme IVECO WAY permettra de consolider davantage le leadership d’IVECO dans le

segment des véhicules lourds sur le marché tunisien. Le monde évolue rapidement et le monde des transports doit non seulement suivre le rythme, mais aussi anticiper et mener le changement ».

Dario Testa, Tunisia Area Manager, a commenté : « Avec le lancement des nouveaux camions IVECO T-WAY et IVECO S-WAY, nous offrons maintenant à nos clients la gamme de produits la plus complète, entièrement renouvelée et orientée affaires, aussi bien pour les missions tout-terrain que routières. La nouvelle gamme de produits IVECO WAY nous permet de répondre à toutes les demandes du marché avec une offre coordonnées de produits très différents. Aujourd’hui, nos clients considèrent leurs camions comme un outil commercial. Ils recherchent une solution complète capable de leur assurer la rentabilité dont ils ont besoin. C’est cela qui rend notre IVECO WAY unique : elle offre tout ce dont nos clients ont besoin, et bien plus encore. »

IVECO S-WAY, le camion longue distance axé sur le conducteur

L’IVECO S-WAY est le nouveau véhicule routier de la nouvelle gamme IVECO WAY, la solution professionnelle idéale pour le propriétaire de flotte et le parfait compagnon de voyage pour le conducteur. Il améliore encore son efficacité énergétique, qui était déjà parmi les meilleures, avec une nouvelle gamme de moteurs et d’essieux arrière de nouvelle génération, des technologies avancées adaptées aux besoins du client. Il s’appuie sur le succès de cette gamme depuis son lancement européen en 2019 et s’est avéré extrêmement populaire auprès des conducteurs en raison de son haut niveau de confort. Les clients apprécient les améliorations en termes de performances et de coût total d’exploitation (TCO) qui découlent de la grande fiabilité des nouveaux camions.

Face à une concurrence redoutable, les opérateurs logistiques ont besoin d’une disponibilité, d’une efficacité et d’une productivité de haut niveau de leurs flottes. Le nouvel IVECO S-WAY répond parfaitement à cette exigence, fournissant une offre complète de caractéristiques sans égal, développée en mettant l’accent sur la centralité du conducteur. Plus qu’un produit, c’est un modèle économique qui couvre l’ensemble du cycle de vie du véhicule et qui aide les clients d’IVECO à répondre aux exigences de leurs propres clients.

Conçu pour maximiser le rendement énergétique

En redessinant entièrement la cabine, IVECO a saisi l’opportunité de réaliser des économies de coûts et des gains de productivité qui cadrent avec les objectifs de rentabilité de l’exploitant. Tous les nouveaux éléments de cette cabine sont réunis pour atteindre une performance aérodynamique supérieure et assurer jusqu’à 4 % d’économies de carburant en plus d’un rendement énergétique exceptionnel, caractéristique de cette gamme de produits.

Chaque détail de l’extérieur de la cabine a été étudié avec soin pour réduire la résistance à l’air.

Le nouveau toit est parfaitement intégré à l’avant du véhicule et présente une surface plane qui réduit les frottements. Même la marche rétractable à l’avant, qui permet un accès facile au pare-brise, disparaît complètement lorsqu’elle n’est pas utilisée. La calandre avec ses angles à haut rayon et ses ailettes latérales, les phares intégrés, le nouveau design des pare-chocs avec déflecteurs intégrés, ainsi que le nouveau design des passages de roue, créent des lignes fluides qui optimisent le flux d’air – et font une déclaration avec un style distinctif.

Les performances aérodynamiques du véhicule sont davantage améliorées grâce à des caractéristiques supplémentaires qui réduisent les frottements en comblant les espaces. À ce titre, le kit aérodynamique optimisé avec rallonges en caoutchouc permet de combler l’espace entre le tracteur et la semi-remorque.

Le nouveau design de la porte, qui s’étend jusqu’à la deuxième marche, crée une surface lisse sur les côtés de la cabine, réduisant les turbulences à vitesse de croisière.

Une nouvelle cabine dessinée autour du conducteur pour fournir un confort de conduite supérieur à bord L’IVECO S-WAY reprend toutes les avancées introduites dans les générations précédentes et ajoute une nouvelle cabine entièrement repensée autour du conducteur pour offrir un environnement de conduite ultime avec une ergonomie et une disposition des commandes exceptionnelles.

La configuration ergonomique des commandes permet d’avoir toutes les fonctions clés à portée de main du conducteur. Le volant multifonctionnel, doté de 22 interrupteurs, met toutes les fonctions nécessaires à portée de main du conducteur. Cette configuration élimine les distractions pour le conducteur qui peut travailler sans jamais avoir à déplacer ses mains du volant. Le tableau de bord et la console centrale ont été redessinés pour améliorer le confort et l’efficacité d’utilisation grâce à une nouvelle disposition et à des fonctionnalités beaucoup plus nombreuses. La nouvelle commande marche/arrêt du moteur et l’emplacement de la clé électronique avec télécommande intégrée sont idéalement placés sur le tableau de bord près de la zone DNR.

Le pavillon redessiné, le tunnel inférieur et l’étagère supérieure profilée offrent une hauteur de station debout confortable avec 2,15 mètres au centre de la cabine, tandis que l’espace utilisable longitudinal supérieur est 35 cm plus large que dans le modèle précédent, permettant un accès plus facile au lit et aux compartiments supérieurs.

L’espace nuit allie fonctionnalité et confort avec sa nouvelle disposition symétrique et ses rangements, connexions USB et commandes bien placés.

Le système d’air conditionné, et les systèmes de refroidissement et de chauffage de stationnement assurent un confort thermique idéal à l’intérieur de la cabine, quelles que soient les conditions météorologiques, que ce soit au volant ou lors des arrêts.

Conçu pour la sécurité du conducteur

L’IVECO S-WAY a été développé en mettant le conducteur au centre de ses développements. Ainsi, la nouvelle cabine a été redessinée et renforcée pour assurer un haut niveau de sécurité passive, avec une résistance mécanique conforme aux normes ECE R29.03.

Le nouveau design offre également une visibilité directe nettement améliorée pour le conducteur grâce aux vitres latérales et aux rétroviseurs monoblocs. L’IVECO S-WAY offre également des feux full DEL qui possèdent un faisceau beaucoup plus précis qui porte plus loin, améliorant la visibilité et la perception d’obstacles de 15 %, augmentant ultérieurement la sécurité en cas de faible luminosité. De plus, l’IVECO S-WAY dispose d’une gamme complète de systèmes avancés d’aide à la conduite pour aider le conducteur à exploiter le véhicule efficacement et en toute sécurité tout en réduisant la fatigue sur la route. La cabine offre également un gage de sécurité lorsque le véhicule est stationné grâce à la nouvelle conception de la portière qui descend désormais jusqu’en bas, ne laissant exposée que la marche inférieure, et qui comprend une serrure de portière mécanique supplémentaire à l’intérieur de la cabine.

Une gamme renouvelée pour une productivité commerciale élevée et un excellent coût total de possession

La nouvelle gamme de moteurs répond aux normes d’émissions Euro III/ V. Les moteurs Cursor 9 et 13 offrent une vaste gamme de puissances allant de 360 ch à 560/570 ch. L’efficacité du moteur a été améliorée avec l’introduction du système d’injection Common Rail.

Les moteurs 9 et 13 litres ont été associés à la nouvelle boîte de vitesses automatisée 12 vitesses Hi-Tronix à haut rendement permettant une nette amélioration concernant la commande électronique d’embrayage, résultant en une plus grande efficacité, une durabilité accrue et de meilleures performances.

Des caractéristiques supplémentaires contribuent aux économies de carburant de l’IVECO S-WAY. Elles incluent la nouvelle fonction Ecoroll qui désactive automatiquement la transmission en pente douce pour exploiter l’inertie du véhicule, l’Ecoswitch qui optimise la puissance du moteur/le débit de couple selon la charge du véhicule et la mission, le système de mesure de pression des pneus pour garder sous contrôle la pression de chaque pneu pour une sécurité et un rendement énergétique accrus.

IVECO T-WAY : le véhicule le plus robuste conçu pour les missions tout-terrain les plus extrêmes

L’IVECO T-WAY s’appuie sur le patrimoine de robustesse et de fiabilité de la longue lignée de champions tout-terrain de la marque. Il introduit des solutions technologiques de pointe pour dépasser toutes les attentes en termes de productivité, capacité de charge, sécurité et confort de conduite. Ces caractéristiques de robustesse extrême, performances élevées et fiabilité sont clairement exprimées par le thème de la campagne de lancement publicitaire :

« T » POUR TRAVAUX EXIGEANTS : dessiné et conçu pour la robustesse et la fiabilité

L’IVECO T-WAY a été conçu pour offrir les meilleures performances dans chaque mission tout terrain, robustesse et rigidité torsionnelle. Il reprend de ses prédécesseurs la robustesse légendaire du châssis en acier haute résistance avec un châssis de 10 mm d’épaisseur, avec un moment de centrage des rails en tête du segment à 177 kNm. L’essieu avant a une capacité maximale pouvant atteindre 9 tonnes.

La réduction du moyeu sur l’essieu arrière est de série pour maximiser la solidité et la performance.

Le nouveau système de suspension arrière à usage intensif pour les essieux tandem optimise le poids du véhicule et améliore les performances tout-terrain avec une garde au sol plus importante et un meilleur angle de départ.

L’IVECO T-WAY offre toute la puissance nécessaire pour la traction et la PDF avec le moteur Cursor 13 (13 litres)

fiable et efficace d’IVECO qui développe jusqu’à 470/480 ch.

Les moteurs sont associés à la boîte de vitesses automatisée HI-TRONIX 16 vitesses éprouvée, qui présente désormais également de nouvelles fonctionnalités spécifiquement conçues pour la mobilité tout-terrain dont une fonction Hill Holder pour aider le démarrage sur les fortes pentes, le Rocking Mode pour aider à récupérer de l’adhérence en conditions glissantes et le Creep Mode pour profiter d’une vitesse ultra-lente au ralenti ; pour les sections routières de la mission, l’Ecoroll, une fonction qui utilise l’inertie du véhicule quand la descente améliore l’efficacité de la transmission.

L’HI-TRONIX représente le dernier cri du secteur de la transmission automatisée et offre la stratégie parfaite de changement de vitesse pour chaque application.

PRODUCTIVITÉ ET EFFICACITÉ avec une charge utile encore plus importante

L’IVECO T-WAY a été conçu pour l’efficacité et la productivité, avec une multitude de caractéristiques, un poids en ordre de marche plus faible et de nouveaux dispositifs de sécurité.

Le faible poids en ordre de marche a ultérieurement été réduit de 325 kg par rapport au Trakker avec la nouvelle conception du support tandem sur les essieux arrière qui est désormais un composant formé d’une seule pièce monobloc.

FLEXIBILITÉ EXTRÊME : le camion tout-terrain le plus propice aux conversions

L’IVECO T-WAY est destiné à devenir le camion préféré des carrossiers en raison de son extraordinaire flexibilité. Avec ses versions rigides et articulées, il possède l’offre la plus large d’options de transmission sur le marché : traction partielle sur les modèles rigides et articulés 6×4 et sur les modèles rigides 8×4 ; ainsi que traction intégrale sur les versions rigides et articulés 4×4 et 6×6, et sur les versions rigides 8×8.

La gamme de véhicules à traction intégrale s’est enrichie de nouveaux modèles à empattement de 4, 4,2 et 4,5 mètres, qui peuvent transporter des charges spéciales sans modification du châssis.

La nouvelle architecture électrique et électronique HI-MUX est complètement compatible avec les derniers systèmes de contrôle de dernière génération.

La nouvelle gamme de PDF inclut une nouvelle PDF sandwich hautes performances offrant jusqu’à 2 150 Nm de couple. Ces polyvalence, largeur et profondeur de gamme extrêmes et le vaste choix de versions font de l’IVECO T- WAY le camion parfait pour tous les types de carrosseries et de missions professionnelles.

IVECO T-WAY : conception de cabine axée sur le confort de conduite et la sécurité

La cabine de l’IVECO T-WAY partage la conception conviviale de la gamme IVECO WAY avec ses lignes épurées et aérodynamiques. Disponible en deux versions – cabine courte AD et cabine longue AT avec toit standard ou haut – elle se concentre sur la fonctionnalité pour faciliter le travail quotidien du conducteur.

L’ensemble de l’espace conducteur a été créé pour fournir un environnement pratique et facile à vivre. Le siège conducteur confortable et ergonomique, ainsi que le nouveau concept de volant multifonctionnel, assurent un confort de conduite excellent.

La sécurité du conducteur est primordiale dans les conditions difficiles typiquement rencontrées par l’IVECO T-WAY. Le véhicule est conçu pour fournir une protection maximale avec des caractéristiques de sécurité qui dépassent largement les exigences d’homologation. Le nouveau système de freinage est doté d’EBS de série, des freins à disque complets sont disponibles sur les modèles à transmission pneumatique et les nouveaux ADAS (Advanced Driving Assistance Systems) sont disponibles dans la gamme.

GAMME IVECO WAY : une gamme complète pour chaque mission à usage intensif

Le lancement d’aujourd’hui a permis de présenter la gamme IVECO WAY, qui offre désormais une vaste gamme de véhicules lourds de premier ordre pour toutes les missions :

  • T-WAY, le véhicule le plus résistant sur le marché des poids lourds qui pousse les performances, la fiabilité et la polyvalence à l’extrême ;
  • S-WAY ON, pour les longues distances sur autoroute où les économies de carburant sont essentielles ;
  • S-WAY ON+, pour les missions tout-terrain régionales et légères. Le compromis parfait entre la performance et la fiabilité ;

Le plus grand constructeur automobile du monde ne semble pas convaincu de l’avenir du tout-électrique : voici pourquoi

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OTO News (plus grand constructeur automobile) – Lors du lancement de son modèle hybride Prius (mi-essence, mi-électricité), le géant automobile Toyota était considéré comme l’acteur le plus soucieux de l’environnement du secteur. Deux décennies plus tard, alors que tous les constructeurs automobiles injectent des milliards dans le développement de véhicules entièrement électriques, le groupe japonais adopte une approche plus prudente de la technologie verte du moment.

Plutôt que de miser entièrement sur le 100 % électrique, Toyota Motor Corporation préfère continuer à investir dans un portefeuille de véhicules hybrides « électrifiés », comme la Prius. En outre, le chef de Toyota, Akio Toyoda, a également fait part de la poursuite des travaux de recherche sur des alternatives telles que la voiture à hydrogène ou les carburants synthétiques. Cette vision « mixte » de l’avenir fait du constructeur automobile un cas à part dans l’industrie automobile.

En désaccord avec les écologistes

L’entreprise a quelque peu perdu la faveur des écologistes et des environnementalistes en raison de sa vision. Ainsi, Greenpeace a placé le géant japonais au bas d’un classement de 10 constructeurs automobiles pour leurs efforts de « décarbonisation ». L’une des raisons invoquées par l’ONG est que les véhicules à émission zéro représentent moins de 1 % des ventes de Toyota.Abonnez-vous à LA NEWSLETTER DE MIDI pour être informé une fois par jour et ne retenir que le meilleur de Business AM.

.« Le fait est que l’hybride n’est pas une technologie verte aujourd’hui. La Prius fonctionne avec un moteur à combustion polluant que l’on retrouve dans toutes les voitures à essence », a écrit Katherine García, chargée de campagne à l’organisation environnementale Sierra Club, dans un récent billet de blog.

Projets électriques

Ainsi, alors que des rivaux comme General Motors, Volkswagen et bien d’autres ont promis d’investir des milliards de dollars ces dernières années pour développer des véhicules entièrement électriques (c’est-à-dire qui n’ont pas besoin de moteur à combustion, comme la Prius), Toyota est resté à la traîne. Elle n’a annoncé des investissements similaires qu’à la fin de l’année dernière.

Ses objectifs électriques annoncés en décembre comprennent :

  • Vente de 3,5 millions de véhicules électriques par an d’ici à 2030. C’est 75 % de plus que l’objectif précédent.
  • Commercialisation de 30 nouveaux modèles électriques d’ici la même année.
  • L’augmentation des investissements dans les batteries au cours de la même période a permis de convertir 15 milliards d’euros, soit 33 % de plus que ce qui avait été annoncé pas plus tard qu’en septembre 2021.
  • Extension de la famille bZ électrique à batterie pour le marché européen avec un petit crossover, après le SUV électrique bZ4X.
  • Entre-temps, l’entreprise a annoncé il y a quelques semaines qu’elle allouerait 5,6 milliards de dollars à la production de batteries hybrides et entièrement électriques au Japon et aux États-Unis.

Mais, l’entreprise électrique n’est qu’une partie de leur histoire. Bien que ces chiffres et ces montants semblent énormes, ce qu’ils sont, ils sont éclipsés par les engagements de concurrents tels que GM et VW – le premier ayant annoncé qu’il proposerait exclusivement des VE « zéro émission » d’ici 2035. À leur tour, les autres constructeurs automobiles se sont engagés à faire en sorte qu’au moins 50 % de leurs véhicules vendus en Amérique du Nord soient entièrement électriques.

« Ce sera vraiment un marché mixte »

Selon Toyota, les véhicules électriques sont une solution, et non LA solution, aux objectifs de neutralité carbone de l’entreprise, relève un journaliste du site économique CNBC. Lorsqu’on demande aux cadres de l’entreprise pourquoi ils parient sur des chevaux différents, ils font souvent référence à l’infrastructure peu développée pour les véhicules électriques dans de grandes parties du monde.

Paul Waatti, analyste industriel chez AutoPacific, est également d’accord. « Je pense qu’ils se couvrent », a-t-il déclaré à CNBC. « D’un point de vue mondial, de nombreux marchés évoluent à des rythmes différents. Les États-Unis sont plus lents que l’Europe et la Chine en termes d’adoption des VE, mais il existe d’autres marchés où il n’y a aucune infrastructure. Une approche diversifiée des groupes motopropulseurs est logique pour un constructeur automobile mondial. »

« Nous voulons offrir à chacun un moyen de contribuer le plus possible à la résolution du problème du changement climatique. Et nous savons que la réponse n’est pas de traiter tout le monde de la même manière », a encore déclaré Gill Pratt, scientifique en chef chez Toyota et PDG du Toyota Research Institute, lors d’un événement médiatique dans l’État américain du Michigan le mois dernier.

« Dans un avenir lointain, je n’investis pas en partant du principe que les véhicules électriques à batterie représentent 100 % du marché. Je ne le vois tout simplement pas », a déclaré Jim Adler, directeur fondateur de Toyota Ventures. « Ce sera vraiment un marché mixte ».

Des batteries extrêmement coûteuses

Ce qui n’aide pas non plus, c’est que les batteries des véhicules électriques sont extrêmement coûteuses. De plus, les prix ne cessent d’augmenter en raison de l’inflation, ainsi que de l’énorme demande de matériaux, tels que le cobalt et le nickel, nécessaires à la production des cellules de batterie. Selon le cabinet de conseil AlixPartners, le coût des matières premières pour les véhicules électriques en général a plus que doublé pendant la crise du coronavirus.

L’approvisionnement d’un métal alcalin désormais bien connu et indispensable à la fabrication des batteries lithium-ion est ce qui inquiète le plus les experts : « Une crise du lithium se profile à l’horizon. Nous n’en avons pas assez dans le monde pour en produire autant d’ici 2035 », a déclaré à ce sujet Keith Philips, PDG de la société minière Piedmont. Et il n’est pas le premier à faire de tels commentaires.

De ce point de vue, la stratégie hybride de Toyota n’est peut-être qu’une preuve de prévoyance, et l’acteur japonais pourrait donc avoir la vision la plus frugale de l’avenir de tous les constructeurs automobiles.

Création conjointe d’une image de marque par Livestream dans la CEO HOUSE

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OTO News (Livestream) – Dans un contexte de pandemie mondiale, les livestreams, plus populaire mode d’interaction sociale, digitale et scénarisée actuel, sont devenus un canal marketing important pour diverses marques de véhicules.

Etant résolu à devenir une marque automobile de renommée internationale, Chery a toujours considéré les relations avec les médias comme un élément important de la communication de la marque. Avec le développement en profondeur d’Internet, Chery, en utilisant l’important mode d’interaction que constitue le livestream, a eu une communication plus approfondie avec les médias mondiaux, qui ont participé à la création de l’image de la marque.

1- Considérant Chery

En 2021, Chery s’est lancé dans la construction de la CEO HOUSE (CHERY/EXEED/OMODA House) afin de fournir des plateformes de livestream pour divers marchés et a activement établi une plateforme mondiale de connexion directe aux médias. Grâce à une connexion directe aux médias mondiaux, nous avons changé le mode d’interaction précédent utilisant images et textes. Simultanément, nous nous engageons à bâtir une nouvelle écologie des médias conviviale, ouverte, inclusive et extrêmement connectée, afin de mieux comprendre les médias et les utilisateurs, afin également de construire, conjointement avec les médias mondiaux, l’image de marque de Chery, de transmettre la voix de Chery à 10 millions de propriétaires de véhicules dans le monde entier et lier des amitiés grâce aux médias mondiaux.

2- Explication en ligne par les techniciens de Chery

Grâce à une plate-forme mondiale de connexion directe aux médias, Chery a invité un expert – Hong Gaoming de Chery Automobile Co., Ltd. Pour se connecter à Jean Pierre, une célèbre figure des médias automobiles en Équateur. Du point de vue technique, Hong Gaoming explique les designs uniques des TIGGO 8 PRO ainsi que les excellentes performances de puissance 1.6T GDI du modèle pour le relief de l’Amérique centrale et du Sud aux utilisateurs mondiaux, ainsi que la technologie de sécurité intelligente ADAS. En ce qui concerne les livestreams pour le marché vietnamien, Xiong Lilan, directeur de la gamme de produits modèles OMODA 5 de Chery International, explique son design dynamique et avant-gardiste comme représentant un « calandre intégrée en forme de diamant » en combinaison avec l’unique Art In Motion. Conception du modèle OMODA 5, montrant ainsi aux médias et aux utilisateurs du monde entier la future technologie de pointe du modèle OMODA 5 via une plateforme de diffusion en direct.

Grâce à la plate-forme de livestream et d’enregistrement CEO House, Chery a organisé une rencontre de reconnaissance en ligne, où les médias du monde entier ont pu avoir l’occasion d’apprécier, à l’avance, le nouveau modèle de Chery et d’avoir l’opportunité d’un dialogue en tête-à-tête avec la direction et les techniciens de Chery sur les préoccupations des utilisateurs. Lorsque les médias ouzbeks ont posé des questions sur les difficultés que Chery pourrait rencontrer, les dirigeants de Chery ont déclaré : « À l’heure actuelle, nous n’avons peut-être pas une connaissance approfondie des habitudes de consommation locales et des utilisateurs locaux. À l’avenir, nous organiserions une série d’essais sur route pour permettre aux clients de découvrir la qualité de nos véhicules. De plus, grâce à ces essais, nous pourrons obtenir de véritables retours d’utilisateurs au niveau local et mieux répondre à leurs besoins.

Désormais, dans la salle de réunion de connexion directe aux médias de Chery, un service de livestream est fourni à de nombreux marchés étrangers, dont le Mexique, l’Équateur, l’Égypte et la Turquie. Grâce aux livestreams ainsi qu’à des communications directes avec nos techniciens, nous sommes en mesure de répondre aux questions des médias et de transmettre la voix de la marque ainsi que les dernières informations sur les produits. Cela démontre pleinement que Chery attache une grande importance au maintien des relations avec les médias du monde entier, et montre également la sincérité et le professionnalisme de Chery dans le développement de bonnes relations avec les médias et dans l’établissement d’une image de marque internationale à laquelle les utilisateurs attachent une image de confiance.

Actuellement, les véhicules de Chery sont vendus dans plus de 80 pays et régions, tels que le Moyen-Orient, l’Amérique du Sud et l’Afrique, avec des ventes cumulées de plus de 2 millions d’ensembles. Les exportations de Chery continuent ont continué d’augmenter cette année. Avec le développement continu d’une connexion directe aux médias internationaux, les ventes mondiales de Chery pourraient établir un nouveau record et la marque pourrait bénéficier d’une plus grande influence.

Dans un futur proche, Chery Tunisie organisera également son premier événement de connexion directe avec les médias à grande échelle, et de nombreux médias que vous connaissez bien se connecteront avec nous ! Gardez un œil à notre page d’accueil officielle, nous vous informerons à l’avance de l’heure et du contenu, de nombreuses surprises vous attendent ! https://www.facebook.com/With-Chery-With-LoveTN-103141085540075

Toyota Aygo, Hyundai i10, Peugeot 208 et KIA Picanto occupent le Podium des ventes des Voitures populaires

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OTO News (Podium des ventes des Voitures populaires) – Les ventes de voitures populaires en Tunisie au cours des huit premiers mois de cette année  se sont situées à un peu plus de 4 000 unités, précisément 4 292 véhicules jusqu’en août dernier, soit une baisse d’environ 2 000 voitures par rapport à leurs ventes à la même période de l’année précédente 2021.

La marque japonaise Toyota Aygo était à la tête des ventes de voitures populaires en Tunisie, faisant la promotion de 915 voitures au cours des huit premiers mois de cette année, suivie de Hyundai i10, qui a vendu 907 voitures populaires au cours de la même période mentionnée.

Cela dit,  le constructeur automobile sud-coréen Hyundai (la maison mère) a annoncé jeudi dernier que ses ventes avaient augmenté durant le mois d’août de 11,6% à 334.794 unités, contre 300.000 et 4 unités l’an dernier.

Ce résultat reflète une augmentation de 14,7 % des ventes à l’étranger à 285 570 unités, malgré une baisse de 3,5 % des ventes internes à 49 224 unités.

Les ventes totales ont augmenté de 1,2 % par rapport à juillet dernier, la hausse de 4 % des ventes externes ayant compensé la baisse de 12,6 % des ventes internes.

Pour ce qui est de la voiture « Peugeot » 208, elle est arrivée à la troisième place dans le pourcentage de ventes de voitures populaires au cours de la même période mentionnée en faisant la promotion de 654 voitures de ce type.

Concernant la marque « Kia Picanto », elle s’est classée quatrième dans le pourcentage des ventes de voitures populaires en Tunisie par commercialisation de 591 véhicules au cours des huit premiers mois de l’année.

Une si longue attente

Le porte-parole officiel de la Chambre nationale des concessionnaires et constructeurs automobiles, Mehdi Mahjoub, a révélé dans une déclaration radiophonique qu’il y a environ 200 000 demandes pour une voiture populaire en Tunisie, soulignant que chacune des marques automobiles fournira mille voitures de ce type.

Selon les professionnels du secteur, le taux de taxation des voitures à 5 chevaux est très élevé, puisque l’imposition qui leur es appliquée est d’environ 43 % entre taxe  sur la consommation et taxe sur la  valeur ajoutée, alors que la TVA sur les  voitures populaires est de 7 %.

Par ailleurs, les acteurs du secteur réclament également une réduction de l’écart entre les voitures populaires et les autres afin d’abréger les longs délais d’attente et aciliter l’acquisition de la voiture.

Pour ce qui est des prix de vente des voitures en Tunisie, ils  ont augmenté de 15% au cours des sept derniers mois, selon Mehdi Mahjoub.

La hausse des prix des voitures en Tunisie reste  viscéralement liée au  taux de change du dinar par rapport aux devises étrangères et à  la hausse des droits de douane imposés sur la voiture, qui sont parmi les plus élevés au monde.

En effet, les prix des voitures populaires varient cette année, qui à leur tour ont connu une hausse entre 20 et 35 mille dinars tunisiens.

La voiture populaire en Tunisie est l’un des types de voitures qui bénéficient d’avantages  et d’exonérations fiscales accordés par le gouvernement aux citoyens qui souhaitent en acquérir une  après au travers  d’une demande introduite  auprès du ministère du Commerce.

Pour une méga câblerie « Mercedes Benz » à Jendouba

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OTO News (Mercedes Benz) – La grande firme allemande de voitures s’intéresse au site industriel de Jendouba pour un éventuel lancement d’une méga câblerie. C’est ce qu’annonce Cherif Lachnani, président de la chambre de commerce et d’industrie du Nord-Ouest sur la page fb de la Chambre..

Selon la même source, « cet intérêt vient de l’excellente image et du bon climat d’affaires construit grâce à l’effort des dirigeants, des cadres et des ouvriers et ouvrières de la SEBN (Sumitomo Electric Industries Group.) ainsi que de la sollicitude de tous ceux qui à Jendouba appuient le développement et soutiennent l’investissement étranger comme la CCINO, Utica et autres »…

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